Deux pôles |
Compl. Titre | un rêve |
Auteurs | Hubert, Alain (Auteur) |
Edition | Arthaud : Paris , 2004 |
Collection | Société des explorateurs français |
Collation | 349 p.-[16] p. de pl. en coul. |
Illustration | ill. en coul., couv. ill. en coul. |
Format | 24 cm |
indice Dewey | 910.4 |
ISBN | 2-70031-353-4 |
Prix | 20 EUR |
Langue d'édition | français |
Sujets | Antarctique -- Récits de voyages Arctique -- Récits de voyages Régions polaires -- Descriptions et voyages Pôle Sud -- Descriptions et voyages Pôle Nord -- Descriptions et voyages |
Catégories | Documentaires |
Thèmes | Récit de voyage |
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Résumé : Depuis près de quinze ans, je fréquente avec passion les contrées polaires. Ce contact privilégié s'est progressivement accompagné de la conviction, de plus en plus ferme, de la fragilité de notre condition humaine sur cette planète, de l'impératif d'une mobilisation internationale, de l'urgence d'une sensibilisation sociale. Nous sommes la seule espèce sur cette Terre à être capable de prendre quelque distance au regard d'une situation et de modifier ensuite notre comportement. Combien de fois, perdu au milieu des glaces ou des montagnes de l'Himalaya, n'ai-je pas expérimenté une telle situation ? Deux pôles : un rêve relate deux traversées des plus grands déserts de glace de notre planète, les pôles Sud et Nord, réalisées par Alain Hubert, grand explorateur polaire, fondateur de la Fondation polaire internationale située à Bruxelles. 1997-1998, un record du monde toujours d'actualité : la traversée à pied, à skis et en autonomie de l'Antarctique (3 924 kilomètres en quatre-vingt-dix-neuf jours). Alain Hubert et son coéquipier seront soumis aux extrêmes de cet univers. Seules les nouvelles voiles de traction, conçues pour cette expédition, leur permettront de relever ce défi audacieux, défi où la technologie se met au service d'une éthique de l'aventure. 2002 : sur les traces de Nansen, ils tentent de traverser l'océan Arctique. Franchir des chaos de glace en tirant de lourds traîneaux, subir les chutes dans l'eau glacée, éloigner les morses et, surtout, les ours blancs... L'expédition, sur une banquise dont l'épaisseur diminue chaque année, en raison du réchauffement climatique, devra renoncer au bout de soixante-huit jours. Mais échec sera sans doute le plus convaincant de ses exploits...
Notes : Bibliogr. p. 325-327 et 347-349
Notes : Bibliogr. p. 325-327 et 347-349
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